Etpuis j'ai dit merde aussi à cette conseillère qui m'appelait régulièrement pour me faire parler de ce mal-être qui devait m'habiter à cause de Paleo mitochondries, sclérose en plaques . Publié le 25 novembre 2012 par paleophil. On vient de me pointer sur un TedTalk assez remarquable, qui résume en 17 minutes ce que je pense sur la santé et la nutrition, présenté par une femme médecin, Terry Wahl, atteinte de la sclérose en plaque, qui a eu les meilleurs traitements Scléroseen plaques. Guérison rapide. grâce aux traitements naturels. Témoignage-choc A ujourd'hui, j'ai rencontré un couple dans mon lieu de travail. La dame m'a raconté que leur fils s'était suicidé il y a peu, parce qu'il avait une sclérose en plaques et qu'il voyait sa santé continuer à se gangrener et, sans espoir de guérir, estimait que sa vie ne valait Jen attends trente et me décide à frapper. La secrétaire me demande si la radio m'a appelé. J'ai du mal comprendre, je remonte. Je demande à la radio si on m'a appelé. On me dit que non, qu'ils ont envoyé directement les résultats. Je redescends et transfère l'information. La secrétaire me dit qu'ils n'ont rien reçu et que je dois La« fatalité » du diagnostic de sclérose en plaques n’en serait pas une ! Le docteur Olivier Soulier, associé à quelques spécialistes, l’a affirmé lors d’un récent congrès après l’analyse personnalisée de plus de 500 cas. Le retour à son chemin de vie, par l’expression d’un « soi » authentique, est au coeur de ses conclusions, fortifié par un renforcement de son Articleintéressant d'une jeune maman atteinte de sep: "Récemment, je suis allée faire un contrôle chez le neurologue pour ma sclérose en plaques afin de voir si tout allait bien après mon accouchement. Avec chance, je n'ai pas dû attendre trop longtemps. J'ai eu des petits tests pour faire état de tous mes réflexes et après nous Pendantun instant, j’ai cru que ma vie était terminée, finie: pas d’enfant, ma carrière sera minable, je serai pauvre, je n’aurais jamais de chum, je Comprendrela sclérose en plaques. La sclérose en plaques (SEP) est une maladie auto-immune : le système de défense censé protéger le patient d’agressions extérieures, se retourne contre ses propres cellules et les attaque Jai donné récemment dans ma ville, une causerie avec démonstration à l’antenne locale de la Société de la Sclérose en Plaques et j’aimerais partager mon expérience avec vous. Il y avait à peu près 20 personnes présentes, certaines utilisant des déambulateurs, des cannes ou des fauteuils roulants. Je leur ai montré la technique abrégée, en utilisant le point de karaté Commenten êtes-vous arrivé à un tel niveau ? G. P. : J’ai été diagnostiqué de la sclérose en plaques en 2004. A l’époque je travaillais 12 heures par jour, j’étais cadre dirigeant dans un grand groupe industriel. J’ai arrêté le sport, car on m’avait dit, tNbrr. À l’occasion de la Journée Mondiale de la Sclérose en plaques, Le Figaro a rencontré le Pr Catherine Lubeztki, chef du département de neurologie de la Pitié-Salpêtrière. C’est une pathologie encore très mystérieuse. La sclérose en plaques ou SEP est une maladie auto-immune dysfonctionnement du système immunitaire qui touche plus de 100 000 personnes en France. Elle se déclare généralement au début de l’âge adulte. Très handicapante, elle n’est en revanche pas mortelle. Quels sont les principaux symptômes de la maladie? Peut-on en guérir? Quels ont été les progrès réalisés dans la prise en charge de cette pathologie? Le Pr Catherine Lubetzki est chef du département de neurologie de la Pitié Salpêtrière et chercheuse à l’Institut du Cerveau et de la Moelle épinière ICM. Elle a répondu, le 14 mai dernier, aux questions des internautes en direct sur la page du Figaro Live et la page Facebook du Figaro. ● Qu’est-ce que la SEP? C’est une maladie qui touche le système nerveux central c’est-à-dire le cerveau et la moelle épinière. Chacun de nos neurones est constitué d’un corps cellulaire NDLR, la tête du neurone» et d’axones branches du neurone», qui véhiculent l’information. Pour accélérer la transmission de cette information et pour assurer la protection du neurone, chaque axone est entouré d’une gaine, la myéline. L’inflammation due à la SEP entraîne une dégradation de cette membrane protectrice. Le message a donc du mal à passer et l’axone, privé de sa protection, se met à souffrir de façon irréversible, jusqu’à la mort du neurone. Il y a donc trois composantes dans cette maladie l’inflammation, la destruction de la gaine de myéline et la dégénérescence du neurone.● Trois-quart des malades sont des femmes. Pourquoi sont-elles les plus touchées par cette maladie? Pour le moment, nous ne l’expliquons pas très bien. Cependant, nous savons que les maladies auto-immunes, dont la SEP fait partie, sont plus fréquentes chez la femme. Comme s’il y avait une susceptibilité particulière du système immunitaire féminin. Lors de la grossesse, en revanche, le risque d’avoir des poussées diminue significativement.● Quels sont les symptômes de la SEP? La sclérose en plaques, comme son nom l’indique, est une maladie responsable de la formation de plaques dans le système nerveux central, dues à la destruction de la myéline visible par IRM. Les symptômes dépendent de la localisation des plaques dans le système nerveux central troubles des fonctions sensitives, motrices ou encore visuelles. Les troubles des fonctions sensitives, qui sont souvent inaugurales de la maladie, sont fréquents cela peut être un engourdissement, des fourmillements dans un membre, la sensation d’eau qui coule sur la peau ou la sensation d’avoir une toile d’araignée sur le visage. Alors attention de ne pas s’alarmer dès le moindre symptôme faisant penser à une SEP. Si ces manifestations sensitives ne durent que quelques minutes ou si elles sont très localisées, il n’y a pas de raisons de s’inquiéter. En revanche, si ces symptômes demeurent pendant quelques jours voire quelques semaines, il faut consulter un médecin généraliste, qui pourra, s’il a un doute, envoyer le patient consulter un neurologue.● Quel est le rôle du neurologue? Plaques visibles dans le cerveau de deux patients atteints de SEP. Institut du Cerveau et de la Moelle épinière Lorsqu’il accueille un nouveau patient, le médecin neurologue mène d’abord un interrogatoire, suivi d’un examen clinique. En effet, la SEP se caractérise par des manifestations différentes qui apparaissent et disparaissent on parle alors de poussées. Si le patient se présente au médecin avec un engourdissement au bras en expliquant qu’il a déjà eu des symptômes visuels, cela peut faire penser à la SEP. Si le doute persiste, le neurologue propose au patient de réaliser une IRM pour confirmer le diagnostic. Cet examen permet de visualiser des plaques disséminées que ce soit dans le cerveau ou dans la moelle épinière.● Quels sont les facteurs de risques de la maladie? Tout d’abord, il ne s’agit pas d’une maladie héréditaire. Autrement dit, il n’y a pas de gène défini qui provoque la maladie. Cependant, au sein d’une famille, plusieurs personnes peuvent être atteintes par la SEP. Et cela n’est pas seulement dû au hasard. On considère donc qu’il y a une susceptibilité» familiale, portée par de très nombreux gènes. Concernant les facteurs environnementaux, nous en avons mis en évidence quelques-uns, qui ont probablement un poids très faible sur le déclenchement de la maladie. Ainsi, l’ensoleillement pourrait jouer un rôle protecteur, peut être par le biais de la vitamine D. À l’inverse, la contraction d’un virus, celui d’Epstein-Barr, rendrait, à l’inverse, plus susceptible de provoquer la maladie chez les enfants. L’obésité et le tabagisme semblent également être des facteurs de risque.● Peut-on guérir de la SEP? Et quels sont les traitements d’avenir pour cette maladie? À l’heure actuelle, aucun traitement ne permet de guérir de la SEP. Mais des progrès incroyables ont eu lieu ces dix dernières années avec l’apparition de médicaments qui permettent d’offrir une meilleure qualité de vie aux patients. Il existe désormais plus d’une quinzaine de traitements anti-inflammatoires qui combattent l’inflammation du système nerveux pour réduire la fréquence des poussées de la première phase de la maladie. Mais après un certain nombre d’années d’évolution de la maladie, la plupart des patients entrent dans une deuxième phase dite secondairement progressive. Les poussées laissent alors la place à un handicap persistant. Et dans cette phase, les traitements sont encore insuffisants. Cependant, il y a de l’espoir depuis deux ans, deux molécules ont montré un résultat positif partiel. Ça ouvre une nouvelle voie pour l’avenir. Il existe différents types de sclérose en plaques, ils sont tous graves. Leur diagnostic et leur traitement est complexe car chaque professionnel doit adapter le programme thérapeutique de façon individuelle. La sclérose en plaques est une maladie grave avec une issue fatale. Malheureusement, il existe différents types de sclérose en plaques, et il n’est pas toujours facile de les identifier pour les différencier les uns des s’agit d’une pathologie chronique qui n’a pas de guérison. Par conséquent, recevoir son diagnostic est une nouvelle préoccupante qui défait toutes les attentes chez les patients et leurs sa complexité, nous devons également ajouter que la clinique a catalogué différentes formes de maladie, qui sont toutes graves. Si l’équipe professionnelle traitante n’est pas en mesure de trouver le type de maladie en question chez chaque patient, le début du traitement approprié est tant que pathologie neurologie, elle est une cause très fréquente de handicap puisqu’elle tend à apparaître chez les jeunes adultes, généralement de moins de 40 ans. Ce sont des patients qui doivent abandonner leurs études et leur travail dans la plupart des ailleurs, tous les types de cette maladie sont auto-immuns. Autrement dit, le corps lui-même attaque ses propres composants. Dans ce cas, il fabrique des anticorps qui détruisent la myéline, une substance qui recouvre les nerfs. Grâce à la myéline, la transmission des impulsions nerveuses est possible. Sa destruction endommage la connectivité de la sclérose en plaquesPresque tous les types de sclérose en plaques partagent les mêmes symptômes. Ce qui varie généralement, c’est la forme de présentation ainsi que le type d’évolution dans le principaux signes de la maladie se manifestent dans l’appareil locomoteur. En effet, les patients éprouvent une faiblesse dans les membres, ils ont du mal à marcher et perdent l’équilibre. Les bras deviennent également plus faibles, et surviennent alors des chutes soudaines d’objets, comme les tasses ou les part, les crampes sont aussi un symptôme commun, accompagnées de douleur dans le muscle qui se contracte de manière involontaire. Même si la personne veut assouplir la zone contractée, elle n’y parvient plus des crampes, les muscles affectés sont soumis à des tremblements et des spasmes. Il va sans dire que cela entrave considérablement les activités de la vie quotidienne. Autrement dit, la maladie compromet la qualité de autre système touché est le système digestif. Les différents types de sclérose en plaques provoquent la constipation et la rétention d’urine. Cela a lieu parce que les nerfs qui devraient transmettre l’information du mouvement péristaltique sont sans d’autres organes qui subissent une importante affectation sont les yeux. Certains patients débutent avec le symptôme de la vision double, avant de souffrir de troubles ou de faiblesse dans les membres. En plus de la vision double, des mouvements rapides et incontrôlés des globes oculaires peuvent se manifester.“La sclérose en plaques détruit la myéline des nerfs et diminue la transmission des informations entre les neurones.” Lisez également A quel âge peut apparaître la sclérose en plaques ?Types de sclérose en plaquesLes protocoles de diagnostic de la maladie ont identifié quatre type de sclérose en plaques SEP-RR il s’agit de la sclérose en plaques récurrente-rémittente. Elle est nommée ainsi parce qu’elle alterne entre des périodes de poussées aiguës avec d’autres symptômes, puis d’autres phases de plusieurs mois sans signes de la pathologie. L’apparition des poussées est souvent liée à un nouveau secteur neurologique touché par le manque de myéline. C’est le type de sclérose en plaques le plus fréquent des quatre. SEP-PS la sclérose en plaques progressive secondaire est celle qui commence comme une SEP-RR, mais évolue vers une forme de symptômes permanents, sans périodes de repos. SEP-PP c’est la sclérose en plaques progressive primaire. Il n’y a presque pas de périodes sans symptômes et elle débute de façon progressive depuis zéro, sans évoluer à partir de la forme SEP-RR. C’est ce qui la différencie du type précédent. SEP-RP il s’agit du type de sclérose en plaques le moins fréquent et se nomme sclérose en plaques rémittente-progressive. Les poussées aiguës se chevauchent. “Dans la majorité des cas, tous les types de sclérose en plaques entraînent des handicaps chez les patients. Beaucoup d’entre eux ne pourront pas retourner étudier ou travailler.” Découvrez plus 7 astuces pour prévenir les maladies neurodégénérativesDiagnostic et traitementLa Communauté Scientifique Internationale a convenu que les critères de McDonald sont la norme pour diagnostiquer tous les types de sclérose en plaques. Ensuite, il faut attendre l’évolution de la maladie pour savoir de quel type il s’ ailleurs, le traitement est similaire pour tous. Pour les poussées aiguës avec des signes d’évolution de perte de la myéline, des corticoïdes sont administrés. Concernant les périodes d’intervalle, des médicaments modifiant l’évolution sont généralement les médicaments, la rééducation à travers diverses thérapies se concentre sur les habiletés qui se perdent petit à petit. Dans ce processus, des kinésiologues, des orthophonistes et des ergothérapeutes sont différents types coïncident en termes de gravitéBien qu’elle présente différents types, la maladie est toujours grave. Son évolution est chronique et progressive, avec la perte des fonctions au fil du temps. Aucun moyen n’existe actuellement pour la soigner, même si des progrès considérables ont été réalisés en matière de contrôle pourrait vous intéresser ... Publié le 30/01/2019 à 15h44 , mis à jour le 30/01/2019 à 15h44 Les douleurs touchent la majorité des patients atteints de sclérose en plaques. Elles peuvent résulter directement de la maladie ou être induites par un dysfonctionnement. Si elles ne sont pas traitées correctement, les douleurs nuisent à la qualité de vie du patient. Il est important de connaître leur origine pour mieux les prendre en charge. Quels sont les différents types de douleurs ? Comment les soulager ? Qui consulter en cas de douleurs ? On fait le point avec le Pr Patrick Hautecoeur, neurologue spécialiste de la sclérose en plaques. La sclérose en plaques SEP est une maladie chronique inflammatoire qui touche le système nerveux central SNC. Elle se caractérise par la dégradation progressive de la myéline, une gaine protectrice qui permet aux cellules nerveuses de transmettre les informations entre le cerveau et le reste du corps. Dans la sclérose en plaques, les messages envoyés par notre cerveau sont mal transmis au reste du corps. Cela provoque différents symptômes tels que des troubles de la vision, des troubles moteurs, des troubles sensitifs, cognitifs et sphinctériens. Les douleurs, directement ou indirectement provoquées par la maladie, font également partie du quotidien des patients. La douleur, un symptôme typique mais pas systématique La douleur n’est pas systématique dans la sclérose en plaques SEP, elle est toutefois fréquente. "Plus de 50 % des malades ont mal. Et près de 70 à 75 % des patients ressentent des douleurs dans les mois qui précèdent la consultation chez leur neurologue", fait remarquer le Pr Hautecoeur. L’apparition des premières douleurs n’est pas liée à l’ancienneté de la maladie. La douleur ne signifie pas que la maladie est déjà bien installée, elle peut même intervenir dès la première poussée. A savoir aussi que la douleur n’est pas toujours le premier signe de la maladie. "Le premier symptôme est souvent la névrite optique, une inflammation du nerf optique qui provoque une perte partielle ou complète de la vision et dont la douleur est augmentée par la mobilisation des yeux", explique le neurologue. On estime que dans 20 à 30 % des cas, la névrite optique est révélatrice de la SEP. Your browser cannot play this video. Les différents types de douleurs dans la SEP Trois types de douleurs ont été identifiés dans la SEP, en fonction de leur origine. Les douleurs neurogènes sont provoquées par une atteinte du système nerveux central. Elles sont donc directement liées à la maladie. Ce sont les douleurs les plus fréquentes 60 % des douleurs dans la SEP. "Elles se caractérisent par des sensations de brûlures, de décharges électriques, de piqûres aux extrémités des membres, de réaction douloureuse au toucher", détaille le douleurs secondaires sont déclenchées par un dysfonctionnement. Ce sont souvent des troubles musculaires comme des raideurs ou de la spasticité contraction violente des muscles. Elles peuvent également être la conséquence de mauvaises positions adoptées face à des difficultés à la marche ou des troubles de l’équilibre. "On observe alors des tendinites ou des lombalgies".Les douleurs iatrogènes sont liées au traitement de fond de la SEP. Il peut s’agir de gênes musculaires ou de maux de tête. "Ce sont principalement les douleurs ressenties aux points d’injection en cas de traitement par injections. Mais il y en a de moins en moins car on traite le plus souvent avec des comprimés" indique le Pr Hautecoeur. SEP les traitements pour soulager les douleurs La prise en charge des douleurs est pluridisciplinaire et le traitement est adapté à l’origine de la douleur. Les douleurs neuropathiques dans les nerfs situés à l’extérieur de la moelle épinière sont soulagées grâce aux antiépileptiques, antidépresseurs ou encore à l’hypnose. Les névralgies douleurs sur le trajet d’un nerf sensitif comme la sciatique sont traitées avec des antiépileptiques, la thermocoagulation destruction par la chaleur des ganglions des nerfs impliqués dans la douleur ou la radiothérapie ciblée sur les ganglions. En cas de douleurs secondaires, on privilégie les traitements prescrits habituellement dans les rhumatismes. "Les massages profonds par un kinésithérapeute, la rééducation, la correction de la posture, l’activité physique régulière… permettent de soulager ces douleurs". Les douleurs iatrogènes se traitent avec des antalgiques, des anesthésiques locaux ou bien par le changement du site d’injection. Attention, les croyances des patients sur certaines médicaments peuvent être un obstacle à l’observance des traitements. "La prise d’antidépresseurs ou d'anti-épileptiques peut faire peur aux malades qui ne comprennent pas pourquoi on leur prescrit des antidépresseurs ou des antiépileptiques alors qu’ils ne souffrent pas de dépression, ni d’épilepsie. Il y a une réelle nécessité à faire de la pédagogie sur les différentes actions des médicaments auprès des patients atteints de SEP, pour les rassurer sur leurs croyances et leur montrer dans quelle mesure certaines molécules sont efficaces pour traiter leurs douleurs", insiste le spécialiste. À voir aussi Toujours parler de ses douleurs à son médecin Le patient ne doit jamais souffrir en silence au risque de passer à côté de traitements adaptés. La douleur est malheureusement un symptôme trop souvent négligé par les patients. Ils n’ont pas toujours le réflexe d’aller consulter en cas de douleur qu’ils n’associent pas à la SEP. Par exemple, un simple mal de dos peut en fait être la conséquence d’une spasticité, un des symptômes de la SEP. A la moindre douleur, il faut consulter son neurologue pour lui en parler. Your browser cannot play this video. Les soignants aussi peuvent négliger la douleur. Aller voir son médecin généraliste en cas de douleur n’est pas toujours judicieux, selon le Pr Hautecoeur "certains médecins généralistes ne font pas toujours le lien entre certaines douleurs et la SEP car ils ne connaissent pas bien la maladie. Sur l’ensemble de sa patientèle, un médecin généraliste a en moyenne un patient souffrant de SEP. Les généralistes devraient pourtant jouer un rôle central dans la SEP notamment dans la reconnaissance de poussées et de non poussées, des types de douleurs. Ils se doivent d’être de bons cliniciens pour pouvoir renvoyer les patients vers les spécialistes adaptés et faciliter une prise en charge optimale". La douleur est un aspect de la maladie pouvant être handicapant, mais il est possible de la soulager, voire de la supprimer. Elle est déterminante pour comprendre l’évolution de la maladie et ainsi adapter au mieux les traitements afin d’améliorer la qualité de vie du patient. D’où la nécessité d’en parler.