Unescène post-générique pour Suicide Squad News Cinéma. par Republ33k . Tweet. C'est décidément la journée de Suicide Squad. Il faut dire que que dans ces "early screenings", le long métrage ne bénéficie pas de scène post-générique, mais que cela pourrait changer pour la sortie en salles. Le long métrage Suicide TheSuicide Squad, directed by James Gunn, is an R-rated blast of a movie, and, of course, has a post-credits scene to tease the future of the franchise. The movie's post-credits scene makes a big reveal: Peacemaker is alive, and two members of Amanda Waller's team need him. Here's what that could mean for the future of the DC Extended Universe. Viewerswho stuck around until the very end were surprised to learn that The Suicide Squad had not one, but two surprise endings. One, which is featured shortly after the film’s title card appears, and the second, which comes (way) after the credits are done rolling. Rumors that the film would have a post-credit scene surfaced in early 2021 LaSuicide Squad étant une équipe créée par Amanda Waller pour assister l'A.R.G.U.S., ils opèrent au sein de leur quartier. Anecdote [] Dans Batman: Arkham Origins, la statue d'Harleen Quinzel porte une plaquette avec un document très similaire à celui donnée par Waller à Wilson dans la scène post-générique. Galerie [] Dansle DC Extended Universe, les scènes post-générique ont jusqu’à présent permis de voir un ancien super-héros dans un tout nouveau rôle, le début d’un tout nouveau personnage et une préparation pour un futur film. Le prochain film du DCEU à sortir est The Suicide Squad du scénariste et réalisateur James Gunn. Commetous les films de super-héros ou presque, "The Suicide Squad" contient un bonus sous la forme d'une scène post-générique. NEWS - Interviews mercredi 28 Enattendant d’avoir fini d’assembler son équipe pour le tournage de la série Peacemaker, le réalisateur James Gunn retrouve Sylvester Stallone pour un ajout au film The Suicide Squad.Etrangement positionnée dans l’agenda de production (le projet est censé être bouclé depuis un bon moment), cette scène inédite aurait été tournée dans la journée d’hier, 7Sep 2021. The Suicide Squad spoilers follow. The Suicide Squad post-credits scene has officially been released, and you don't have to sit through the credits to enjoy it. Following the release Al'exception de Suicide Squad, Warner DC a jusqu'ici laissé les scènes post génériques à Marvel. Mais pour Justice League, deux surprises ont été prévues pour les fans. 4gcl8. Comme tous les films de super-héros ou presque, "The Suicide Squad" contient un bonus sous la forme d'une scène post-générique. Et celle-ci tease l'un des futurs projets de DC. ATTENTION - L'article ci-dessous contient des spoilers, puisqu'il revient sur le dénouement de "The Suicide Squad" et évoque sa scène post-générique. Veuillez donc passer votre chemin si vous n'avez pas encore vu le film. James Gunn avait prévenu, et le producteur Charles Roven nous l'avait rappelé ne vous attachez pas trop aux personnages de The Suicide Squad. Car personne n'est à l'abri. La séquence d'ouverture nous le rappelle très vite, et le reste du long métrage est au diapason de cette entrée en matière sanglante. Même quand on pense que certains membres de l'escouade sont bien partis pour rester en vie. Comme Peacemaker, incarné par John Cena, qui tente de doubler ses camarades pour permettre d'étouffer les agissements du gouvernement américain sur l'île de Corto Maltese. Malheureusement pour lui, Bloodsport Idris Elba est plus prompt lors de leur face-à-face, et il rejoint la longue liste des cadavres du film. Du moins le croit-on pendant quelques minutes. Jusqu'à la scène post-générique. Celle-ci se déroule dans un hôpital, et il est question d'une personne que l'on croyait morte mais qui a finalement survécu Peacemaker. Ce qui n'est, au final, qu'une demi-surprise. Car il était déjà annoncé que John Cena, qui avait bluffé tout le monde sur le plateau de The Suicide Squad, reprendrait son rôle dans une série destinée à HBO Max. Mais cette dernière aurait pu n'être qu'un prequel. Si des flashbacks sur ses premiers pas ne sont pas à exclure, il s'agira donc majoritairement d'une suite dans laquelle il remplira des missions secrètes pour ses nouveaux employeurs. Supervisée par James Gunn, Peacemaker verra également Steve Agee et Jennifer Holland reprendre leurs rôles respectifs de John Economos et Emilia Harcourt au milieu de nouvelles têtes. Dont Freddie Stroma Harry Potter 6 & 7, Danielle Brooks Orange is the New Black et Robert Patrick, l'ex-T-1000 de Terminator 2. Alors que le tournage est déjà terminé, aucune date de diffusion n'a été annoncée pour le moment, mais celle-ci pourrait intervenir aux alentours de la sortie américaine de The Suicide Squad, le vendredi 6 août. Éternel rival de Marvel depuis l’avènement des comics, DC n’a jamais vraiment réussi son passage sur le grand écran. Hormis la trilogie cultissime The Dark Knight de Christopher Nolan, l’univers partagé des super-héros de la Digne Concurrence n’est jamais parvenu à atteindre la cohérence et la popularité des Avengers sur le long terme. Un aveu de faiblesse qui se traduit aujourd’hui à travers le Worlds of DC, un univers pas forcément connecté dans lequel Warner Bros. multiplie les projets indépendants, comme Joker ou le Batman de Matt Reeves à venir. Pour le reste de la Justice League, le géant américain pratique l’art du soft reboot, à la manière du film The Suicide Squad de James Gunn sorti en suite officieuse qui se moque gentiment mais ouvertement du premier opus signé David Ayer est aussi le symbole que Warner Bros. tente de donner un peu plus de liberté artistique à ses créateurs. La Suicide Squad de James Gunn est barrée, souvent over-the-top mais finalement drôle et touchante, dans le même style que la famille dysfonctionnelle des Gardiens de la Galaxie à laquelle il a donné vie chez la concurrence. Si le succès du film est relatif, pas franchement aidé par le contexte sanitaire, Warner continue de faire confiance au réalisateur qui a pu poursuivre l’histoire d’un des nouveaux antihéros de l’escadron suicide, dans un spin-off dédié à Christopher Smith alias Cena a donc renfilé le costume arc-en-ciel du criminel aux yeux d’aigle dans une série dérivée, qui se déroule juste après la fin de The Suicide Squad et commence même, techniquement, avec la scène post-générique du film. Laissé pour mort après avoir trahi les siens, Peacemaker se réveille à l’hôpital, sauvé in extremis par Amanda Waller et sa Task Force. En réalité, la directrice de l’ l’enrôle dans un nouveau projet secret, surnommé “Butterfly”, afin d’exploiter ses talents uniques pour sauver la planète d’une invasion de parasites chrysalides qui s’en prennent aux humains. À la tête d’une équipe de bras cassés, Peacemaker devra jongler entre ses partenaires complètement timbrés, ses démons intérieurs liés à son passé violent et la culpabilité d’avoir laissé tomber ses précédents frères d’ patte irrésistible de Gunn en intraveineuseSi vous connaissez le travail de James Gunn uniquement par le prisme de Marvel et DC, vous avez une image faussée du réalisateur. À l’origine, le cinéaste américain est un fan inconditionnel du cinéma de genre et d’exploitation, citant régulièrement La Nuit des morts-vivants et la saga Vendredi 13 comme ses premiers chocs cinématographiques. Une passion pour l’horreur, l’humour noir et le décalage qu’il a déjà transcendé dans Horribilis, film de série B aussi crado que fun et divertissant, qui installe définitivement sa patte dans le cinéma hollywoodien style à la fois trash, décalé et naïf colle forcément avec les super-héros de DC Comics, davantage vu comme des figures divines et plus matures que les justiciers de la Maison des Idées. Il a prouvé à travers ses blockbusters sa capacité remarquable à mener des œuvres chorales, comme Joss Whedon et Jon Favreau avant lui, mais toujours tributaires de sa patte singulière. On pouvait donc s’inquiéter de le voir plonger corps et âme dans les tourments et les pulsions ambigus d’un seul personnage, Peacemaker en l’occurrence, même s’il engageait aussi les fans dans une forme de continuité avec le personnage incarné par John Cena dans The Suicide Squad, pas toujours au top chez DC / Warner comme nous le disions plus nul doute que James Gunn a dû apprécier son passage sur le petit écran. Le réalisateur est beaucoup plus libre et viscéral dans sa façon de traiter le personnage, pastiche de Captain America et éternel looser. Il l’entoure d’un passé ô combien violent et immoral, avec un père ouvertement raciste en symbole de la white supremacy tendancieuse aux États-Unis. Avec beaucoup d’humour noir, parfois à la limite du gras, James Gunn déconstruit une forme de masculinité toxique à travers le personnage de Peacemaker, comme il l’avait fait avec un certain Peter Quill quelques années série oscille entre les scènes d’action hyper trash, dans le respect de The Suicide Squad, le body horror et des scènes d’introspection moins absurdes que le reste, sans jamais tomber dans le grotesque. Peacemaker devient ainsi un antihéros qu’on adore détester. James Gunn le montre plus vulnérable derrière ses muscles saillants et son casque de bronze, comme un homme né à la mauvaise époque. Peacemaker veut redevenir Christopher et affronte la réalité d’avoir été élevé et considéré toute sa vie comme une machine à tuer, comme s’il incarnait une version obsolète du modèle super-héroïque saluera également les rôles secondaires de la série, à commencer par Danielle Brooks Orange Is the New Black qui incarne la tordante et sympathique Leota. Elle campe d’ailleurs un personnage gay, l’une des trop rares représentations des minorités LGBTQ+ au sein du Worlds of DC. La bande de losers partage en somme une belle alchimie à l’écran, alors que les crises existentielles et les traumatismes de l’enfance sont au cœur de leurs conversations. On retrouve ainsi les thèmes phares de l’œuvre de James Gunn, à savoir l’abandon et la solitude, qui hante ses films et ses familles de justiciers France, la saison 1 de Peacemaker reste inédite. Warner Bros a bien des choses à apprendre de Marvel Studios. Spoilers. Vendu comme le petit cousin dégénéré de l’univers DC Comics, Suicide Squad avait toutes les raisons du monde d’être totalement déconnecté du reste de la famille. Surprise, Warner Bros a finalement décidé de l’intégrer pleinement et d’en faire une sorte de film de transition, situé juste entre les événements de Batman v Superman et de Justice League. Le début du long-métrage fait directement suite à la mort de Superman dans BvS et le scénario enchaîne ensuite les clins d’oeil Batman arrête Deadshot à Gotham City, le Chevalier Noir poursuit le Joker et Harley Quinn, et Flash a droit à une très rapide apparition. Assez logiquement donc, une courte scène post-générique a été ajoutée pour teaser Justice League. Notre avis sur Suicide Squad Pas une mauvaise idée en soi, sauf que la séquence en question n’apporte rien. On y voit Amanda Waller qui a miraculeusement survécu au combat final parler dans un restaurant avec Bruce Wayne. Ce dernier négocie un dossier classé top secret qui contient des informations sur Enchantress, Flash et Aquaman. On imagine que Cyborg et les autres méta-humains de la planète y ont également leur petite fiche détaillée. Le boulot était déjà fait À se demander pourquoi Wayne s’embête tant, puisque la clé USB de LexCorp sur laquelle il met la main dans Batman v Superman devait en gros lui offrir les mêmes informations. On aurait aimé un peu de mystère, peut-être un retournement de situation qui offrirait un nouvel éclairage sur l’univers DC Comics au cinéma, voire une aguiche un peu sympathique de Suicide Squad 2. Rien de tout ça ici. La seule ouverture se limite à une phrase de Wayne, qui promet à Waller que si elle ne met pas un terme aux agissements du Squad, Batou et sa petite bande s’en chargeront. Suicide Squad David Ayer réagit aux très mauvaises critiques On est loin de la méthode efficace de Marvel Studios, qui consiste à faire de chaque scène post-générique ou presque un pont vers le prochain film du studio. Sans oublier d’ajouter de l’inédit et une bonne dose de teasing. La construction de la Justice League ayant déjà été totalement éventée par le film précédent et la première vidéo promotionnelle étant déjà sur Internet depuis le Comic Con de San Diego, le boulot était déjà fait. Difficile de comprendre pourquoi cet angle a été choisi. Suicide Squad est dans les salles depuis le 3 août. Bande-annonce