Touton long du film on ne fait que rire: Coco est aussi attachant que drôle; il y a de très belles scène entre lui et son fils Samuel et Manu Payet incarne avec talent son cousin.De plus, Gad Mettreen vente Vendre. Aide Aide. Mes favoris Favoris Se connecter Compte. Panier Panier Genre : Comédie, Films Français; Neuf dès 3,99 € Voir le produit. Vendez le vôtre. Chouchou: VOD HD - Achat - VOD Comédie. 2003; Tous public; Genre : Comédie, Films Français; Neuf dès 9,99 € Voir le produit. Vendez le vôtre. Chouchou - De Merzak Allouache avec Gad Elmaleh / Lhumoriste Gad Elmaleh, accusé à plusieurs reprises de plagiat en 2019, est revenu samedi 10 avril 2021 dans On refait la télé sur RTL sur cette aff1 Path 2 645DBCB3-7979-441A-BA4B-98E7BF17E1BE Passémaître dans l’art de faire rire ses contemporains, Gad Elmaleh maîtrise toute la chaîne de fabrication – ou presque – de son Coco sur grand écran, puisqu’en plus d’interpréter le personnage principal, il a aussi coécrit le scénario du film avec Caroline Thivel, et c’est lui encore qui en assure la réalisation. Une expérience qui, pour Gad, relevait moins du désir 000 / 2:01. Le rencontrer c'est l'aimer ! Chouchou, un jeune Maghrébin, débarque clandestinement à Paris dans la seule intention de retrouver son neveu. Recueilli par le Père Léon et le Frère Jean, en charge d'une paroisse de banlieue parisienne, Chouchou trouve un emploi : assurer l'entretien du cabinet d'une psychanalyste, le docteur Passémaître dans l’art de faire rire ses contemporains, Gad Elmaleh maîtrise toute la chaîne de fabrication – ou presque – de son Coco sur grand écran, puisqu’en plus d’interpréter le Judith sa copine, filait le parfait amour avec Claudio, tout en étant très amie avec Nicolas. Film Gad Elmaleh - Sans Tambour en streaming vf complet hds L'humoriste préféré GadElmaleh est un Acteur, Scénariste, Réalisateur français. Gad Elmaleh sera bientôt à l'affiche au cinéma avec 4 films. Découvrez sa biographie, le détail de ses 27 ans de carrière et LESFEUX DE CASABLANCA Le 19 avril 1971, la famille Elmaleh a la joie d'accueillir son deuxième enfant. Gad signifie «chance» en hébreu, et «salé» en arabe. Autour, s'étend la blanche Casablanca, ce Maroc du soleil bordé par l'intense mer bleue, à l'ombre du légendaire et imaginaire Rick's Café, où Humphrey Bogart se tient pour toujours dans son complet blanc, GadElmaleh - Film COCO Issu de son spectacle La vie normale, Coco, 40 ans est un personnage obsédé par l'argent. C'est un exemple parfait de réussite sociale, un self made man qui profite désormais de son argent après avoir fait fortune en inventant l'eau frétillante. Mais tous ses efforts se concentrent désormais sur l'organisation de la bar-mitsva de son fils Samuel, qui CG2UkI. Dans la nouvelle édition du magazine Capital, en kiosques demain, le mensuel économique consacre une longue partie de son magazine au cinéma français et à sa capacité à être en perpétuelle évolution. Que ce soit d'un point de vue des spectateurs dans les salles obscures 153 millions en 1999, 200 millions en 2009, du nombre de films produits 171 en 2000, 230 en 2009 ou de la part de films français sur les entrées annuelles 28% en 1999, 37% en 2009, le cinéma français se porte mieux que jamais ! Au sommaire de ce nouveau numéro de Capital, vous retrouverez notamment une partie sur la nouvelle génération de producteurs, une autre sur nos artistes 3D qui se font une place de choix à Hollywood, et une sur les lois anti-piratage et la cote de nos stars. C'est sur ce dernier point que nous allons nous étendre un peu. La France est le pays européen à produire le plus de longs métrages chaque année. Par comparaison, la France produit par exemple deux fois plus de films que l'Allemagne ou l'Angleterre. Mais nos artistes ont-ils la cote ? Et quelle est cette valeur sur laquelle les producteurs investissent ? Nous allons vous proposer ci-dessous le classement de la cote de nos stars, en tenant compte des revenus de la star pour le film et le nombre d'entrées de ce même film. Le rapport entre les deux - à savoir le nombre d'euros engrangés par son exploitation en rapport avec le salaire de la vedette - nous donne le vrai rapport qualité-prix de chacun de nos artistes. 1 - Valérie Lemercier - pour Le petit Nicolas - elle a été payée 1,2 million d'euros - le film a fait 5,4 millions d'entrées - pour un euro investi sur elle, cela a rapporté 28,3 euros. 2 - Kad Merad - pour Le petit Nicolas et RTT - il a été payé 2,75 millions d'euros - les films ont fait 8,3 millions d'entrées - pour un euro investi sur lui, cela a rapporté 19 euros. 3 - Gad Elmaleh - pour Coco - il a été payé 2,1 millions d'euros - le film a fait 3 millions d'entrées - pour un euro investi sur lui, cela a rapporté 10,2 euros. 4 - Dany Boon - pour De l'autre côté du lit et Micmacs à Tire-Larigot - il a été payé 3 millions d'euros - les films ont fait 4,7 millions d'entrées - pour un euro investi, cela a rapporté 9,87 euros. 5 - Jean Dujardin - pour OSS 117 Rio ne répond plus et Lucky Luke - il a été payé 4,4 millions d'euros - les films ont fait 4,4 millions d'entrées - pour un euro investi, cela a rapporté 6,3 euros. Pour voir le classement complet et découvrir ce passionnant dossier consacré au septième art français et à son économie, rendez-vous dans le magazine Capital, en kiosques demain. Difficile de faire la fine bouche devant un film né d’une aussi louable ambition rendre hommage aux victimes françaises de l’un des plus grands crimes contre l’humanité de tous les temps, et témoigner de ce drame auprès des nouvelles générations pour contribuer à ce qu’il ne puisse jamais plus se reproduire. Difficile, donc… mais pas impossible, car la réalisatrice Roselyne Bosch et son mari, le producteur Ilan Goldman, arrivent après de nombreux autres auteurs qui ont su évoquer cette période et ces événements avec infiniment plus de talent et de 1942. Joseph Weismann, petit Parisien de onze ans, porte pour la première fois l’étoile jaune – ce qui ne l’empêche pas de faire les quatre cent coups avec ses amis dans les rues de Montmartre. Autour de lui, les adultes sont partagés entre l’espoir et l’inquiétude Pétain livrera-t-il les Juifs de France à Hitler ? Le 16 juillet, au petit matin, la famille Weismann est raflée par la police française, et conduite au Vélodrome d’Hiver. 13 000 juifs parisiens y sont parqués, dans des conditions extrêmement dures, en attendant d’être déportés vers des camps de transit dans le Loiret, puis vers Auschwitz dont beaucoup ne reviendront devient presque difficile de trouver un film récent qui ne traite pas plus ou moins directement de la Seconde Guerre mondiale. Quand ils ne réécrivent pas entièrement l’Histoire à la manière de Quentin Tarantino, leurs réalisateurs entendent tous témoigner, qui du sort réservé par les Nazis aux Tziganes Liberté ou aux homosexuels L’Arbre et la forêt, qui de la résistance héroïque d’une poignée de travailleurs immigrés dans la France occupée L’Armée du crime, qui du sentiment de culpabilité des soldats américains venus libérer, bien trop tardivement, les derniers rescapés des camps de la mort Shutter Island[1]Significativement, une partie de la critique française a insisté sur le fait qu’avec Shutter Island, Martin Scorsese évoquait pour la première fois » la Seconde Guerre mondiale – comme s’il s’agissait désormais d’un passage obligé pour tous les cinéastes de quelque importance.. Cette volonté de couvrir tous les aspects d’une période aussi chargée en drames humains que riche en leçons de courage est bien sûr aussi compréhensible qu’estimable, mais elle amène à s’interroger sur la nouvelle fonction sociale du cinéma. Le film semble de moins en moins perçu comme une œuvre d’art, ou l’expression d’une pensée ou d’une sensibilité, mais plutôt comme un instrument d’éducation civique et d’enseignement de l’Histoire qui viendrait se substituer à une école républicaine peinant à transmettre aux citoyens une mémoire et des valeurs communes. Cette évolution ne va pas sans risques confusion entre le réel et la fiction, entre la raison et l’émotion, embrigadement du cinéma au nom du devoir de mémoire, voire mythologisation du passé[2]On retrouve certains de ces problèmes avec les biopics – les biographies filmées –, qui souvent plongent une personnalité historique dans un formol commémoratif, quitte à en raboter la complexité et les ambiguïtés pour ne pas nuire à l’édification des masses. L’un des derniers exemples en date, un Gainsbourg, vie héroïque au titre révélateur, s’ouvrait d’ailleurs sur… une reconstitution de la Seconde Guerre mondiale, présentée comme la matrice de toute l’œuvre et de toute la vie du chanteur-compositeur….Bien sûr, le didactisme n’est pas nécessairement incompatible avec une réflexion esthétique et cinématographique ; ainsi, le récent Liberté est une œuvre magnifique, qui ne résume pas à son sujet, mais manifeste avant tout des qualités formelles et scénaristiques enthousiasmantes. Force est hélas de constater que les films sur la Seconde Guerre mondiale sont le plus souvent plombés par la pesanteur de la reconstitution, et empêtrés dans une certaine raideur démonstrative. Même un cinéaste aussi talentueux et aguerri que Robert Guédiguian est tombé dans les pièges du vouloir-dire » avec son Armée du crime. Roselyne Bosch, quant à elle, n’avait jusqu’à ce jour signé qu’un seul film un Animal sorti en 2006 et qui n’a pas marqué les mémoires, et écrit quelques scénarios, dont celui du médiocre 1492 Christophe Colomb de Ridley Scott ; il paraissait donc peu probable que cette réalisatrice débutante, s’attachant à un projet aussi ample et ambitieux, parvienne à éviter les écueils inhérents au surprise, elle n’en évite aucun. Au moins ne cherche-t-elle pas à être originale elle se contente d’appliquer les recettes de ses prédécesseurs, avec application mais sans une once de personnalité. Du coup, chaque scène de cette Rafle donne l’impression d’avoir déjà été vue mille fois, et ne semble renvoyer qu’à d’autres images, et non au drame historique qu’elles tentent de restituer. Certes, le film, appuyé par une logistique imposante décors, costumes, figuration, est indéniablement bien fait », selon les critères de la nouvelle qualité française… Mais il est surtout terriblement scolaire tout est à sa place, rien ne dépasse, rien ne vit ni ne vibre, les violons jouent au moment où ils doivent jouer, les stars du film Mélanie Laurent, Gad Elmaleh[3]Le choix de cet acteur très populaire dans un contre-emploi sérieux » constitue sans doute un bon argument marketing, mais il ne contribue pas à crédibiliser le film… Non qu’Elmaleh joue mal, mais il y a comme un hiatus entre son personnage de trotskiste polonais et ses récentes prises de position en faveur du bouclier fiscal et contre l’impôt sur la fortune… Quand l’interprète de Coco appelle de ses vœux la révolution prolétarienne », ça ressemble moins à un rôle de composition qu’à un mauvais jeu de mots. et un Jean Reno toujours aussi monoexpressif jouent leur partition avec une application un peu laborieuse, tandis qu’une brochette d’acteurs connus Sylvie Testud, Thierry Frémont, Catherine Allégret ou encore Anne Brochet vient faire de la figuration dans des rôles de victimes ou de héros ordinaires. La construction elle-même du film est binaire et prévisible après l’insouciance et les scènes de bonheur domestique – terriblement clichés –, survient la rafle, point de départ d’une lente descente aux enfers. La seule scène un tant soit peu surprenante est, paradoxalement, la plus attendue appuyée par une musique de Philip Glass, la première vision d’un Vél d’Hiv’ entièrement reconstruit est un moment réellement impressionnant – mais cela relève moins de choix de mise en scène que du savoir-faire d’une équipe technique disposant d’un budget le dossier de presse, Roselyne Bosch confesse s’être posé beaucoup de questions en amont de son projet, et leur avoir trouvé, comme seule réponse, la sincérité ». Hélas, le problème de la représentabilité d’un tel drame aurait sans doute mérité une réflexion un tantinet plus poussée, et le film aurait gagné à proposer des solutions narratives et esthétiques en renfort des bonnes intentions. Ainsi, s’il est compréhensible que la réalisatrice-scénariste ait tenu à s’attarder sur le sort poignant des enfants, son film se retrouve tout de même guetté par le syndrome La vie est belle les bambins ont tous des bouilles adorables, en particulier le gamin Nono », petite star du film insupportable à force d’être mignon ; le choix de lui épargner l’horreur et de le faire réapparaître alors qu’on le pensait disparu à Auschwitz rappelle la fin odieuse du pénible film de Roberto Benigni. Vouloir ainsi rassurer son public en lui servant sa dose d’attendrissement et d’espoir, c’est un choix plutôt surprenant et pas forcément bienvenu étant donné le Bosch est donc aussi maladroite que sincère », par exemple lorsqu’elle use d’images bien trop propres et léchées pour montrer l’horreur des camps. Difficile en effet d’évoquer la promiscuité, le manque d’hygiène, la faim et le désespoir absolu à l’aide d’une esthétique amélipoulinesque[4]La référence est d’ailleurs assumée Roselyne Bosch a déclaré sur France Inter qu’elle voyait son film comme l’Amélie Poulain de la déportation ». On ne fera pas de commentaire sur l’élégance de la formule…. Là encore, la comparaison avec les plans sobres, fugaces et terriblement marquants de Liberté est écrasante. De même, en reconstituant des dialogues entre un faux Laval et un faux Pétain, et entre un faux Himmler et un faux Hitler, le film commet un faux-pas impardonnable. Mal jouées, mal fichues, ces scènes sonnent terriblement faux – on en vient à se dire que ce n’est pas l’extermination elle-même qui est irreprésentable, mais plutôt les discussions et les tractations politiques qui la planifient et l’organisent ! Le film ne se relève pas des scènes avec Hitler, qui flirtent avec le grotesque – il faut voir cet acteur piteusement grimé s’apitoyer sur le sort des animaux de boucherie…Reconnaissons tout de même au film de Roselyne Bosch, par-delà ses insuffisances béantes et ses défauts embarrassants, une qualité somme toute précieuse il est bien documenté. S’appuyant sur le travail de Serge Klarsfeld et sur les témoignages des rares survivants, La Rafle développe une vision assez saine de la France occupée, loin de tout manichéisme les Français ne sont pas tous présentés comme des Justes, mais pas non plus comme d’infâmes collabos. Si le film présente le panel habituel d’antisémites haineux comme cette boulangère caricaturalement antipathique, et de policiers lâches et veules au service d’officiers allemands sadiques et glaçants, il met également en scène une foule de résistants » ordinaires, de braves gens que leur conscience amène à secourir leur prochain, à cacher les enfants de familles déportées – rappelons que la France fut le pays occupé où le plus d’enfants juifs furent ainsi sauvés de la barbarie nazie. C’est finalement le seul mérite de ce film raté, que de ne pas totalement faillir à la mission pédagogique qu’il s’était fixé. News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 4,5 30381 notes dont 1220 critiques noter de voirRédiger ma critique Synopsis Depuis déjà plusieurs générations, la musique est bannie dans la famille de Miguel. Un vrai déchirement pour le jeune garçon dont le rêve ultime est de devenir un musicien aussi accompli que son idole, Ernesto de la Cruz. Bien décidé à prouver son talent, Miguel, par un étrange concours de circonstances, se retrouve propulsé dans un endroit aussi étonnant que coloré le Pays des Morts. Là, il se lie d’amitié avec Hector, un gentil garçon mais un peu filou sur les bords. Ensemble, ils vont accomplir un voyage extraordinaire qui leur révèlera la véritable histoire qui se cache derrière celle de la famille de Miguel… Regarder ce film En SVOD / Streaming par abonnement Disney+Abonnement Voir toutes les offres de streaming Acheter ou louer sur CANAL VOD PremiereMax Location dès 2,99 € HD Orange Location dès 2,99 € VIVA Location dès 2,99 € HD Canal VOD Location dès 2,99 € Voir toutes les offres VODService proposé par Coco Blu-ray 3D - Blu-ray 3D + Blu-ray 2D + Blu-ray bonus Blu-ray Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce Interviews, making-of et extraits 14 vidéos Dernières news 107 news sur ce film Critiques Presse Closer Femme Actuelle Le Journal du Dimanche Le Point Positif Télé 7 Jours Télé Loisirs Voici 20 Minutes Bande à part CNews Cahiers du Cinéma Ecran Large L'Express La Voix du Nord Le Dauphiné Libéré Le Figaro Le Parisien Les Inrockuptibles Ouest France Public Télérama VSD Franceinfo Culture L'Obs Le Monde Les Fiches du Cinéma Libération Première Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 31 articles de presse Critiques Spectateurs En 2013, après le rachat tout frais de Pixar par Disney et les sorties concomitantes du douteux Rebelle » et la triste exploitation de la licence Planes », j’avais écrit un article acerbe contre le studio à la lampe, annonçant même sa mort artistique… Bon bah voilà qu’en 2017, deux ans après Vice-versa », Pixar sort ce Coco » ; le film qui démontre à quel point j’étais totalement à côté de la plaque. Moi, au ... Lire plus Ayayayaaaaayyyyy !!! Caramba ! Voilà donc cette nouvelle production de la paire Disney/Pixar… Eh bien personne ne l’avait vue venir celle-là, mais elle est MORTELLE !! Dans le bon sens du terme, bien entendu. Car là, les studios défoncent toutes les portes de la perfection pour atteindre un niveau jamais obtenu. Ni même imaginable. Là, je ne vois pas comment on pourrait faire mieux et les studios concurrents ont du souci à se faire ... Lire plus Que dire du nouveau Disney-Pixar ? En un mot sublime ! Au départ, après avoir vu les différents teaser, j'étais assez sceptique. L'histoire ne m'emballait pas, et je la trouvais pas si extraordinaire que ça. Depuis le 29 novembre, j’entends que des bonnes critiques. Du coup ce matin hop, direction le cinéma. Franchement, je ne m'attendais pas à prendre une telle claque. Visuellement il est magnifique. Toutes ces couleurs, donnent une ... Lire plus Je ne vais pas faire dans l'original. Je ne vais faire que confirmer les critiques dithyrambiques qui sortent sur ce film oui, Coco est un excellent film, oui, Coco est un des meilleurs Pixar à ce jour et oui, Coco est chef-d'oeuvre de l'animation. Loin d'être un simple film réservé aux enfants comme d'habitude avec Pixar, le film nous questionne sur la vie, la mort, la famille, les rêves et les êtres que l'on a perdus. Des messages ... Lire plus 1220 Critiques Spectateurs Photos 38 Photos Secrets de tournage Coco, de la mer...de ? Le film a été rebaptisé "Viva" au Brésil ; en effet, le terme Coco étant trop proche du mot portugais cocô, signifiant "merde". De la diversité Impulsé par une idée de Lee Unkrich Toy Story 3 et signé par ce dernier, Coco est également réalisé par Adrian Molina, qui a pu enrichir le projet de ses racines mexicaines. Un pas de plus vers la diversité des personnages et des équipes aux studios Disney-Pixar qui, à l’image de ce qui avait été fait l’an dernier pour Vaiana, ont mis un point d’honneur à engager de nombreux comédiens originaires du Mexique pour constituer le casting Lire plus Si si la famille ! Le thème universel de la famille trouvait un profond écho chez les créateurs du film. Adrian Molina, co-réalisateur et scénariste, confie "Nous faisons tous partie d’une famille. Les rapports humains en son sein sont à la fois merveilleux et compliqués, mais ils contribuent à faire de nous ce que nous sommes. Cela nous a conduits à nous demander ce qui se passerait si nous avions la possibilité de rencontrer nos ancêtres. Que reconnaîtrions-nou Lire plus 18 Secrets de tournage Infos techniques Nationalité Distributeur The Walt Disney Company France Récompenses 7 prix et 1 nomination Année de production 2017 Date de sortie DVD 04/04/2018 Date de sortie Blu-ray 04/04/2018 Date de sortie VOD 29/03/2018 Type de film Long-métrage Secrets de tournage 18 anecdotes Box Office France 4 503 694 entrées Budget - Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 147519 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires